La médiation familiale est maintenant devenue une pratique incontournable, obligatoire. Il semble néanmoins important de souligner, en cette journée, que cette pratique présente aussi certains dangers, notamment pour les femmes victimes de violence conjugale. Ces dangers sont généralement passés sous silence...
Tous les députés et députées du Parti conservateur du Canada ont voté, mercredi, contre la motion du NPD visant à reconnaître l’équité salariale comme un droit. La chef par intérim, Rona Ambrose, a été la première à se lever pour voter contre la motion de la deuxième opposition, sous le regard ébahi des autres partis.
Chronique de Patrick Lagacé - L’histoire de Jade M., cette adolescente disparue il y a quelques semaines, a mis fin à une ère d’indifférence face à l’exploitation sexuelle au Québec. Depuis que le père de Jade a pris la parole en public pour exprimer son désarroi, cela a marqué un réveil collectif.
Le 26 janvier 2016, le Réseau d'aide aux personnes seules et itinérantes de Montréal (RAPSIM) organisait un Forum sur le thème itinérance et pauvreté, rassemblant 140 personnes issues du milieu communautaire, institutionnel et politique.
Dans le cadre des consultations «Ensemble pour l'égalité entre les femmes et les hommes» menées par le Secrétariat à la condition féminine du Gouvernement du Québec, la Fédération des maisons d'hébergement pour femmes présente un mémoire sur la politique en égalité.
La commission d'enquête sur les femmes et les filles autochtones disparues ou assassinées devra absolument prendre en compte les racines profondes de cette violence, à commencer par les facteurs socio-économiques, selon des représentants des Nations unies.
« Libérez Jacqueline ! » : ce slogan s’est propagé à partir du 3 décembre en France avec l’appui d’associations féministes, de personnalités et de responsables politiques, qui dénoncent « un déni de justice », jusqu’à avoir recueilli 400 000 signatures sur une pétition.
C’est un remaniement d’envergure qu’a effectué le premier ministre Philippe Couillard jeudi alors que plusieurs nouveaux visages font leur entrée au Conseil des ministres et que d’autres se voient confier de toutes nouvelles fonctions.
Le 27 janvier prochain débuteront les audiences publiques sur le projet de loi no.70 (PL70) modifiant l’aide sociale. La coalition objectif dignité, formée d'une vingtaine d'organisations, se fera entendre !
Un article au titre très accrocheur publié récemment dans La Presse+ présentait des données recueillies par Statistique Canada sur la violence conjugale.
Après les agressions en série de Cologne, nombre de chroniqueurs ont décrié la supposée absence des féministes. « Où sont les féministes ? », scandaient-ils. Elles sont là, mais elles sont fatiguées, les féministes.
Dans les transports en commun, les regards inquisiteurs, remarques sexistes et autres mains baladeuses sont le pain quotidien de centaines de milliers de femmes d’un bout à l’autre de la planète, de Vancouver à Tokyo, en passant par New York, Paris et New Delhi. Mais Montréal fait-elle figure d’exception ?
La réforme de l'aide sociale proposée par le ministre Sam Hamad est basée sur des « préjugés », selon un groupe d'experts de l'Université du Québec à Rimouski (UQAR). Ils lui demandent de retirer le projet de loi 70, sans quoi « on pousserait des gens à la rue. »
La violence conjugale a nettement diminué en 10 ans au Canada, selon une étude de Statistique Canada. Cependant, les victimes sont toujours aussi peu nombreuses à dénoncer leur agresseur.
Le harcèlement sexuel se répand comme une traînée de poudre. Il court les rues en Allemagne, fait des ravages dans les bureaux du Comité olympique canadien et traîne dans les corridors de l’école Saint-Vincent-Marie à Montréal-Nord. Trois situations très différentes mais qui ont pourtant un point commun.
Répit inattendu pour les centres de désintoxication du Québec : le gouvernement provincial a annoncé mercredi l’octroi d’une subvention récurrente de 6 millions de dollars, un montant qui correspond exactement à ce que les libéraux comptent économiser avec leur réforme de l’aide sociale.
L'évaluation révèle que les besoins spécifiques des femmes sont rarement au premier plan de la réponse humanitaire.