La Ville de Montréal publiera d’ici l’an prochain six portraits locaux de l’itinérance dans la métropole afin de permettre une meilleure redistribution des fonds en fonction des besoins, a appris Métro.
Chronique de Judith Lussier. L’itinérance n’est pas ce qu’on pense. C’est le premier constat que j’aie fait lorsque j’ai passé une première soirée dans un lieu d’hébergement pour jeunes en situation d’itinérance, et que j’ai entendu le récit de la journée de l’un deux.
La Ville de Montréal et le CIUSSS-du-Centre-Sud-de-l’Île-de-Montréal ont mandaté le Centre de recherche de l'hôpital Douglas, affilié au CIUSSS de l’Ouest-de-l’Île-deMontréal et à l’Université McGill, en étroite collaboration avec le Mouvement pour mettre fin à l'itinérance à Montréal (MMFIM), pour réaliser Je compte MTL 2018.
La Table des regroupements provinciaux d’organismes communautaires et bénévoles et la campagne CA$$$H – Communautaire autonome en santé et services sociaux – Haussez le financement se réjouissent d’une nouvelle importante, annoncée aujourd’hui par le gouvernement dans le cadre du budget 2019-2020.
Le nombre de femmes victimes de violence conjugale à Ottawa et en Outaouais qui sont surveillées par leurs ex-conjoints au moyen de systèmes de localisation de véhicules automobiles ou d'applications pour téléphones intelligents augmente depuis les dernières années, a appris Radio-Canada.
La Fédération des familles monoparentales se félicite de voir aboutir un combat qu’elle mène depuis 15 ans pour que les pensions alimentaires pour enfant ne pénalisent plus le parent qui veut avoir accès aux prestations d’aide sociale ou aux prêts et bourses.
Pour redonner confiance envers le système de justice aux victimes de violences sexuelles, Québec a mandaté lundi un comité d’experts chargé de trouver des solutions pour mieux les accompagner.
Une certaine vigilance reste cependant de mise afin qu’elle puisse se déployer de façon équitable partout au Québec, selon l’approche globale et communautaire.
Chaque année, la Journée internationale pour les droits des femmes rappelle les injustices et les inégalités dont sont victimes celles qui composent la moitié de l’humanité, tout comme le manque de ressources pour leur venir en aide.
La série Le monstre a crûment montré les ravages de la violence conjugale à la face du grand public. Cette violence ne s’arrête pas toujours avec la séparation, et c’est d’autant plus vrai quand il y a des enfants en cause.
À la veille du 8 mars, Journée internationale des droits des femmes, les maisons d'hébergement pour femmes lancent de nouveau un cri du coeur.
Les maisons d’hébergement pour les femmes victimes de violence sont à bout de souffle et de moyens. Elles réclament 50M$ de plus par année pour pouvoir remplir leur mission adéquatement.
Douze vignettes dévoilent les témoignages de femmes ayant vécu de multiples formes de violences. Si leurs parcours diffèrent, elles ont un point commun : l’impact positif des maisons dans leur vie.
À l’approche de la Journée internationale des droits des femmes, la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF) lance un cri d’alarme sur le manque de service dédié aux femmes violentées au Québec.
Le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), le Regroupement des maisons pour femmes victimes de violence conjugale (RMFVVC) et la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF) unissent leurs voix pour dénoncer les problèmes de logement qui affligent les femmes locataires.
Dans tous les coins du monde, nous, les femmes sommes toutes dans les rues pour nous réjouir de la force collective que nous construisons avec notre organisation. Être en marche nous permet de récupérer nos voix et mémoires silencées.
La Maison grise de Montréal, qui héberge les femmes violentées et en difficulté souhaite sensibiliser la population à ce qu’un silence peut cacher.
Imaginez une femme en détresse, victime de violence conjugale. Elle prend son courage à deux mains pour demander de l'aide dans une maison d'hébergement. Et on lui dit : « Désolé, on n'a pas de place. Pouvez-vous rappeler demain ? »
Les femmes en situation de marginalisation et de vulnérabilité ont maintenant accès à un nouveau service de soins de santé qui leur est entièrement dédié dans les locaux du YWCA Québec.
Un rapport sur l’utilisation du concept d’aliénation parentale dans les situations de violence conjugale vient tout juste d’être publié. Ce rapport a été produit suite à un Forum qui a eu lieu en avril 2018 à l’UQÀM et qui rassemblait des experts québécois, belges et français, ainsi que des intervenantes des milieux de pratique.