L’enquête sur la mort de Rosalie Gagnon, cette fillette de 2 ans retrouvée morte à Québec en avril 2018, révèle que les communications entre la Direction de la protection de la jeunesse (DPJ) et le centre d’hébergement où a séjourné la mère de l’enfant étaient déficientes.
La Commission des droits de la personne et des droits de la jeunesse (CDPDJ) a publié mercredi certaines conclusions de son enquête sur le décès de la petite Rosalie.