On remarque une augmentation de plus de 15% des appels à la ligne SOS violence conjugale, rappelle Mme Langevin. Plusieurs femmes hésitent encore à demander de l’aide, puisque l’agresseur est toujours présent à la maison, dit-elle.
«Les femmes doivent continuer à dénoncer et à prendre action pour sortir de leur situation, malgré la pandémie. Notre ligne d’information, de référence et d’écoute empathique (450 658-9780) est toujours active et il nous reste quelques places en hébergement», précise Mme Langevin.