Si le téléphone s’est remis à sonner depuis le déconfinement dans les centres d’hébergement venant en aide aux femmes et aux enfants, on craint que les répercussions de l’isolement prolongé s’étirent dans le temps. Karine Gendron, directrice générale à la maison d’hébergement Le FAR, pense que les répercussions de l’isolement dans lequel ont été plongées les victimes se mesureront sur des mois, voire des années.