Des intervenantes en maison d’hébergement dans Lanaudière et d’ailleurs demandent au gouvernement d’agir en matière de violence et d’hébergement pour les femmes

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Plus de 150 représentantes de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes interpellent directement le nouveau premier ministre sur le sort réservé aux femmes violentées et sur le nombre de refus en hébergement, faute de places. 

Dans Lanaudière, on compte trois maisons d’hébergement qui doivent composer avec des besoins croissants avec l’avénement de #Moiaussi. Manon Monastesse, directrice générale de la Fédération des maisons d’hébergement pour femmes (FMHF) rappelle qu’une femme sur trois subira de la violence conjugale ou sexuelle au cours de sa vie et que l’homicide par partenaire ou ex-partenaire est la première cause de meurtre des femmes entre 18 et 24 ans. 

Mme Monastesse rappelle que le gouvernement caquiste doit impérativement actualiser le plan d’action 2018-2023 en matière de violence conjugale tant pour les femmes lanaudoises que pour l’ensemble des femmes.