« Malheureusement, ce genre d’ordonnances n’est pas très efficace avec des conjoints, car pour eux ce qui est important en violence conjugale c’est de maintenir le contrôle à tout prix. Pour eux, cette ordonnance ne les met pas dans des situations où ils ont l’impression qu’ils ont à respecter, et pourtant il y avait de nombreuses interdictions qui avaient été assorties du 810 », relate Manon Monastesse, directrice générale de la FMHF.